Comment va le monde?

 

Du petit village à la Commission européenne, du G7 ou 20, selon les derniers chiffres, de l’OTAN à l’ONU, et autres instances, on nous fait croire que tout est sous contrôle.

Il suffit, n’est-il pas, de faire remonter les doléances et la machine fera le reste.

Peut-être que l’IA qui nous promet, nous dit-on, tant de belles choses, prendra le relais pour redonner à notre planète ce lustre fantasmé, enfin qu’elle n’a jamais eu.

Depuis et avant De Gaulle les « machins » ont toujours existé.

L’homme a besoin de croire qu’il contrôle les choses qui, hélas, le dépasse.

- Nous sommes trop petits.

- Oui d’accord, mais on fait quoi en attendant ?

Admettons que ce soit le bordel dans cet entre deux tours, mais n’a-t’on pas connu pire ?

On est en République bordel !

Bon après le deuxième, c’est une autre affaire.

Mais je ne suis pas plus inquiet que ça.

Meloni a dû mettre de l’eau dans son vin.

Eh ouais, bientôt il y aura trop de vieux !

Je propose un moratoire sur le quota de vieux, ne pourrait-on pas proposer une solution, euh … finale ?

On pourrait citer ici les meilleurs films d’anticipation sur la question.

Le vrai problème c’est que la vie réelle n’a rien à voir avec le cinéma, les vieux s’accrochent, et je ne vois qui pourrait leur en vouloir, sauf les cons avec un « C » majuscule et avec qui il faut bien faire.

Mon frère, ma sœur, une picouse, on te promet pas le grand soir mais c’est la tranquillité assurée.

Jupiter est passé aux anti-dépresseurs, pour être un dieu, il faut d’abord être convaincu que les Dieux existent.

Brigitte fait ce qu’elle peut, mais personne ne lui en ferai grief.

Le grand tribun Mélenchon a convoqué ses vassaux pour la dernière bataille.

- Et n’oubliez pas, la République c’est moi.

Les autres surnagent dans les compromissions d’usage.

- Alors René, on vote pour qui ?

- Tu fais ce que tu veux Germaine, moi demain je vais à la pèche pour relever les nasses.