Halal ou casher?


 

Ne pas confondre saucisson à l’ail et saucisson halal.

Un peu comme l’art et le cochon.

Et halal n’est pas casher, qu’on se le dise.

Les petites souris doivent suivre deux corridors, même s’il n’y a rien à manger au bout.

Ça pétarade au nord et au sud c’est l’impasse.

Il faut répondre à la barbarie avec intelligence, dit comme ça évidemment …

L’étau s’est-il jamais desserré ?

Les humains sont-ils en deçà ou au-delà de ces frontières de pacotille ?

Une mère a-t’elle plus le droit de pleurer la mort de son fils selon sa situation géographique ou la légitimité des vengeances ?

Les bourbiers d’antan ne réapparaissent pas, ils ont toujours été là, comme dans « La Guerre des Mondes », sauf que l’ennemi n’est pas d’une autre planète.

Ne pas confondre les affaires et la compassion, on multiplie les colloques, les pseudo-pressions, les cabinets de crise et autres machins.

Les pourvoyeurs délocalisent les conflits, c’est un investissement qui rapporte.

C’est « la fin de l’histoire », ou le « choc des civilisations ».

Dans les « pays tranquilles » de Lavilliers, on subit quand même les « couteaux de la ville » (du même).

Et c’est reparti, comme en 40, mais rien ne s’est jamais arrêté.

« Non, non, rien n’a changé, tout tout a continué ».

Biden parfois ne sait plus où il habite, Trump peut être ré-élu, même s’il peut aussi passer par la case prison, les Chinois continuent à se lécher les babines, car l’heure approche, l’Iran et le Quatar posent leur pions, et les dictateurs de tout poil sont fébriles.

Le bon peuple Européens ne sait plus où donner de la tête, entre la coupe du monde de rugby, les JO, les frissons du dérèglement climatique, les prochaines élections, car il y en a toujours.

Les consommateurs forcés, pour employer un pléonasme, car y a-t’il une différence avec la radicalisation, attendent du « pouvoir » des actions.

On ne peut accueillir toute la misère du monde, mais on ne peut laisser crever les pauvres gens non plus.

Putain, on croule sous les dilemmes.

Il faudrait des instances supérieures, dotées de réels pouvoirs, et sans doute pas de ce monde, pour remettre tout à plat et sauver la faune, le flore, enfin tout ce qui fait notre planète, avec cet espoir que l’humain aura ses chances.

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