La Patrie des Droits de l'Homme.
Les preux, les vaillants, les forts, les parfaits, enfin tous ces petits cons servis par l’âge.
Qui n’a pas connu ce temps béni, à l’époque on ne parlait pas de followers, mais sans la haute technologie, c’était tout comme.
L’histoire est plus douce pour qui ne doit pas prouver sa valeur dans l’instant.
C’est la civilisation entière qui doit repenser la place de chacun.
Aux « temps barbares », on éliminait les plus faibles, y compris et surtout à l’époque des chasseurs-cueilleurs que tant ont idéalisée.
Les clans qui ont protégé les plus faibles et le font encore, ont droit au respect, ne dit-on pas que la façon de traiter les vieux reflète la valeur du système et du gouvernement.
Est-il besoin de s’étendre sur les scandales révélés dans la soi-disant « Patrie des Droits de l’Homme ».
Que des groupes dits « terroristes » s’émeuvent et font du raffut sur le sort des vaches, des poules ou des lapins.
Quelle différence, et pardon ici de choquer, humains ou animaux, la ligne est ainsi nommée : l’empathie, un mot que je déteste, car Dieu ne nous a pas donné ce pouvoir de ressentir la douleur des autres, ou de quelque être vivant que ce soit.
Je ne suis ni végétarien, végétalien ou autre vegan, les granulés pour les perruches, c’est pas mon truc.
Moi j’aime l’entrecôte saignante.
Entendons-nous bien, il n’y a nulle provocation dans mon propos.
Les bêtes que l’on laissent courir dans les prés, tant qu’il reste de l’herbe hélas, n’ont aucune conscience de leur destin, mais vivent une vie paisible et sans douleur ou stress.
Enfin, les fermes aux milles vaches ou les poulets en batterie assistés par ordinateur, c’est plus rentable, vous pensez bien.
Positivons quand même, oui c’est possible, les vrais maîtres du jeu sont les consommateurs, non, ce n’est pas une armée d’abrutis, oui, ils n’ont pas le choix à cause de l’inflation, non, malgré ça ils font de moins en moins n’importe quoi.
La bouffe c’est comme les ehpads, désolé de choquer à nouveau, où es-tu maintenant José ?
La prochain étape, qu’on nous annonce depuis des décennies, les fécondations in vitro d’embryons transgéniques.
Et qui ose dire que les comités d’éthiques sont des machins ?
Le problème n’est pas de savoir si ça arrivera ou pas, mais d’envisager qui sera aux commandes quand le peu « d’empathie », déjà suspecte, aura fondue comme la banquise.
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