La guerre.
Marre de ces lignes toutes droites et parallèles
Je veux des courbes qui se croisent et s’appellent
Marre de ces traits blancs sur le bitume noir ou gris
Je veux des champs et des fleurs
Et des boites de crayons de couleurs
Les courbes qui menacent
Ont le feu au derrière
NewYork
Londres
Paris
Et toutes les capitales que j’oublie
La Corée du nord attend sa carte d’invitation
La Chine reste au dessus mais fait l’inventaire
Le loup croque le ventre mou
Les civilisés se tâtent
Mais non laissons passer
Ceux que certains nomment les rats
Crèvent en silence
Toujours le terroriste de quelqu’un
Ô mères de tous les temps
Qui pleurent en attendant
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