Les bêtes.

 


Les mouches approchent et croient se faire désirer, on sort la tapette et leur sort est scellé.

Pour les guêpes, c’est plus compliqué, on les éloigne un peu avec quelque piège sucré.

Les bourdons ne sont pas incommodants, bruyants c’est vrai, mais il passent et font leur vie.

Les fourmis, un fléau au camping, mettre le sucre et la confiture immergés dans une bassine d’eau.

Les vipères, j’en connais quelques-unes, mieux vaut les éviter avant d’être piqué.

Les chiens, ceux qui se vautrent sans fierté, ou ceux qui mordent sans réfléchir.

Les chats sont des Dieux, gracieux, indépendants et indifférents, on ne peut que les admirer.

Les loups, on les craint, même si on ne les voit jamais.

Les oies sont connes et agressives, comme les ragondins.

Les poules caquettent à tout-va et ne savent pas voler.

Les coqs ergotent, et coco ci et coco là.

Les corbeaux aimeraient jouer des rôles comiques, marre de l’hiver et des manoirs gothiques.

Les ours sont allongés pour leur orgie de miel.

Le tortues et les escargots ont fermé les persiennes et restent à l’intérieur.

Les vaches s’emmerdent.

Les criquets ont l’accent.

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