La chèvre et le lapin.
Des poussières d’intellect, qui pètent plus haut que leur c…
Je n’ai aucune prétention, entendons-nous bien, mais je sais distinguer la chèvre du lapin.
Ceux-là feraient n’importe quoi, etc...
Par parenthèse, j’emmerde ceux qui trouvent mes textes trop tristes ou trop légers, voilà qui est dit !
Chacun improvise selon l’humeur du moment, et merde aux censeurs.
Je ris je pleure, comme dans les comptines.
Chacun s’accommode du paradis de l’enfance et de l’enfer de ce qui suit.
Certains n’ont pas eu cette chance, sans même passer par la case « purgatoire ».
Dieu s’en fout, Dieu n’est pas, la religion c’est comme le Xanax ou le Prozac.
Damnés nous sommes, et pour la suite, autant préférer le néant.
Entre mythes et fables, nos cœurs balancent, la peur est sans doute plus forte que l’argent.
Les agneaux sont maudits, ils bêlent mais sont affligés d’un handicap : ils pensent.
Écervelés ne sauraient se plaindre ou souffrir.
Que ces trous du cul acceptent que tous ne le sont pas.
L’élite de merde a creusé son sillon au dépens des complexes de la masse laborieuse.
Celle-ci est certainement plus utile à la société.
Si on pouvait exterminer tous les donneurs de leçons, et au sens propre je vous l’assure, on vivrait mieux assurément ?
En attendant, le Roi Ubu se vautre, et sait bien qu’il a encore quelques millénaires, au bas mot, pour continuer à festoyer.
Les anges se désolent, mais Dieu n’entend ni ne voit plus très bien
Enfin, il est immortel, il va falloir faire avec ce gâteux pour l’éternité.
On susurre, ici et là, quelques rumeurs de complot, enfin, ça reste à voir.
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