A la Pollock.

Pas de vide, pas de plein, de ronde-bosse, zébrés, mouchetés, azurés, projetés, à la Mathieu, à la Pollock, à la Voltaire (merde, ça n’a rien à voir!). Du « verrou » à « l’origine du monde », les « fêtes galantes », les odalisques de tout poil (ou sans), les violons d’Ingres ou les estampes, les pipes pipées ou l’urinoir, fontaine à jamais intarissable, sauf crise climatique ultime (Chronique d’une Mort Annoncée). Mes amis, cessez de déposer vos commentaires au bas de mes textes, j’ai eu beau chercher dans les paramètres, rien ne permet de les bloquer. Moi j’ai renoncé, par respect pour les auteurs, que certains diront illustres et d’autres amateurs. J’écris comme un passe temps, j’ai un boulot et les contraintes m’emmerdent, je n’ai donc rien à vendre. Savoir que certains ont pris le temps de me lire est pour moi une joie , qu’il soient légion ou pas. Qu’on me lâche les baskets, nul n’est obligé de me lire, de me faire la leçon ou de me démolir. Chacun son style, ses passions ou ...